French

STV JAI BESOIN D AIDE QUELQU UN PEUT ME DIRE SI CE TEXTE EST BIEN INSPIRER DE BOULE DE SUIF, SVPJ AI PRIS BCP DE TEMPS (BESOIN DUN JUGE :) ) ET SI IL Y A DES CHOSES A AMELIORER :)))))))Aussitt rentre, elle monta chez elle et ne reparut plus. Elle se sentait plus coupable de retenir tous ces gens, aprs les avoir entendu avouer quils la trouvaient goste de ne pas coucher avec le Prussien. Ah les vilains! Qu'ils prennent sa place?! Aprs beaucoup de rflexions, Boule de Suif avait dcid daccepter loffre du Prussien, mais pas pour la raison que le croient les gens honntes. Arrive ltage, elle se demanda comment annoncer la nouvelle au Prussien. Elle avait un peu honte de se rendre devant lennemi, sur lequel elle avait aboy auparavant, mais le sentiment de rage et de vengeance envers ces escrocs tait bien plus fort que sa fiert et dignit. Boule de Suif dcida dtre directe avec le Prussien, dire la vrit simplement. Elle ouvrit la porte de la chambre de celui-ci sans toquer, et sassit sur le lit. -Jai chang davis. Je veux bien coucher avec toi, mais a une seule condition: que tu me laisses partir moi, en laissant mes compagnons ici. Faites ce que vous voulez deux, empchez les de partir pendant le temps que vous voulez, commena-t-elle. Elle se sentit oblige aussi de lui dire quelle ne couchait avec lui par plaisir, mais bien par vengeance. Boule de Suif chuchotait presque, de peur que les personnes se trouvant dans la salle manger en dessous de la chambre lentende. Apres quelques secondes dhsitation, Le Prussien accepta loffre. Boule de Suif le remercia, elle tait mme un peu reconnaissante. Le lendemain, Boule de Suif et les gens honntes descendirent au rez-de-chausse de bon matin. Toutes les affaires taient prtes et enveloppes. Latmosphre tait froide, personne nadressait la parole Boule de Suif. Cela convainquait celle-ci que son ide tait bonne. Tout le monde savaient quelle avait accepte loffre du Prussien. On entendu mme la comtesse murmurer: -Quelle honte! Coucher avec lennemi.. On dit au conducteur datteler, les chevaux taient prpars partir galement. Ils taient sur le point de monter dans le omnibus chevaux, quand le prussien les arrta. -Halt! Fous ne partirez pas comme a ! Refenez dans la maisson! Boule de Suif, trs fire du tour quelle venait de leur jouer, monta dans le omnibus et prit la route pour le Havre. Les chevaux galopaient pendant que les gens honntes, enrags, beuglaient des insultes: -Butor! Faquin! -Friponne! Ou penses-tu aller comme a! -Quelle gaupe! Je la croyais vraiment plus aimable! Seul Cornudet tait silencieux. Frustration de ne pas avoir pu coucher avec Boule de Suif lui-mme, ou comprhension de sa dcision? a, on ne le saura jamais.